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Mamizette

Qui est la fondatrice de Mamizette ?

Derrière Mamizette, il y a une entrepreneuse au parcours atypique, une entrepreneuse engagée pour la préservation des liens intergénérationnels, mais pas que… La fondatrice de Mamizette, c’est moi ! Marion Trevet, maman de deux enfants de 6 et 3 ans. Nous vivons avec mon mari dans un petit village de Seine Maritime appelé Mesnil Panneville près de Rouen.

Marion Trevet et sa grand-mère Fanny

Avant de fonder Mamizette...

Il faut savoir que je suis ébéniste de formation, diplômée de l’école Boulle. J’ai travaillé plusieurs années dans le design de mobilier au sein d’une célèbre marque, puis dans la décoration et aménagement dans une start-up. En créant mon propre concept, j’ai donc fait une reconversion professionnelle, dont je suis plutôt fière avec du recul. A 32 ans, avec deux enfants en bas âge, j’ai quand même un peu hésité à me lancer. Mais je savais que c’était un peu “le moment ou jamais” si je voulais vivre cette expérience. Je voulais également donner une dimension plus personnelle à ma carrière et surtout, travailler sur un projet à impact positif.

L'aventure entrepreneuriale en pleine pandémie

En mars 2020, après mon second congé maternité, je ne me retrouvais plus dans mon quotidien professionnel. J’ai donc pris la décision de quitter mon CDI environ une semaine avant l’annonce du premier confinement. J’ai donc profité de ces semaines à la maison pour faire mûrir et poser les bases de mon projet de start-up. Mais avec mes deux loulous à gérer et mon mari qui travaillait également, ça n’a pas été de tout repos !

Cette période était particulièrement angoissante car la crise sanitaire à rendu le contexte global très flou. Mais ne pouvant plus faire marche arrière, je me suis tout de même lancée et en décembre 2020, j’ai immatriculé Mamizette. 

Ma start-up, ma vision

Etant la fondatrice de Mamizette, les valeurs de ma start-up sont aussi les miennes, elles sont le reflet de mes propres préoccupations. Entretenir les liens avec mes proches âgés, leur montrer que je pense à eux, continuer de construire de beaux souvenirs et de les partager…

Ce sont mes motivations personnelles qui ont bâti Mamizette. Je sais que de nombreux parents partagent ce sentiment de culpabilité de ne pas donner plus souvent de nouvelles aux grands-parents et arrières grands-parents. Et de l’autre côté, il y a un sentiment de solitude terrible chez beaucoup de nos aînés, lié ou non à l’isolement